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Nicolas Sarkozy - Les Républicains

Nicolas Sarkozy - Les Républicains

Nicolas Sarkozy est né le 28 janvier 1955 à Paris.
Titulaire d'une maîtrise de droit privé, il obtient son certificat d'aptitude à la profession d'avocat en 1980.
Il travaille dans son propre cabinet jusqu'à la fin des années 1980 tout en menant une carrière politique.
Après ses débuts à Neuilly-sur-Seine, sa ville d'origine, il prend de plus en plus d'importance au sein du RPR.
Plusieurs fois ministre d'Édouard Balladur, il rejoint l'UMP après la réélection de Jacques Chirac en 2002.
Il devient alors ministre de l'Intérieur, une étape décisive dans sa carrière politique.
Apôtre d'une idéologie dite "sécuritaire" et de la tolérance zero, il s'inspire du style de l'ancien maire de New-York Rudolph Giuliani et met en place une législation pénale davantage répressive pour la petite délinquance.
Son image d'homme d'action dope sa popularité et il est élu président de la République française en 2007.
Mais la crise économique et son style réputé trop "bling-bling" pour les électeurs conservateurs de droite vont fortement le mettre à mal dans les sondages.
Il cède sa place à François Hollande le 15 mai 2012 mais revient sur le devant de la scène politique en 2014 en redevenant président de l'UMP.
Objectif : reprendre l'Élysée en 2017.
Il change l'appellation du parti qui se nomme désormais Les Républicains depuis mai 2015.

Sa haute Trahison

Ces affaires qui empoisonnent Sarkozy

DOSSIER - Compte de campagne, affaire des écoutes... deux dossiers judiciaires peuvent perturber le calendrier politique de Nicolas Sarkozy et gêner sa candidature à la primaire à droite pour la présidentielle de 2017.

Parmi les dossiers judiciaires auxquels est confronté Nicolas Sarkozy, il y a ceux qui le menacent directement, comme l'affaire des écoutes ou celui du financement de sa campagne de 2012, et ceux qui le concernent de façon plus indirecte. Dans d'autres affaires, il a été mis hors de cause. Tour d'horizon.

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Les écoutes
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Dans l'enquête sur un possible financement libyen de la campagne de 2007 (voir ci-dessous), l'enregistrement d'une conversation téléphonique entre Nicolas Sarkozy, placé sur écoute, et son avocat a abouti à une information judiciaire, le 26 février 2014, pour trafic d'influence et violation du secret de l'instruction. La justice soupçonne l'ex-président d'avoir tenté, avec l'appui de Maître Thierry Herzog (photo), d'obtenir des informations dans une procédure le concernant auprès d'un haut magistrat, Gilbert Azibert, contre une promesse d'intervention pour un poste de prestige à Monaco.

Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue le 1er juillet 2014 à l'office anti-corruption de la PJ - une première pour un ex-chef de l'Etat - puis mis en examen pour corruption active, trafic d'influence actif et recel de violation du secret professionnel. Thierry Herzog et Gibert Azibert ont également été mis en examen.

Dans ce dossier, les investigations sont terminées. Les écoutes téléphoniques ont été validées par la Cour de cassation. Il appartient au parquet national financier de prendre ses réquisitions. Puis les juges d'instruction pourront ordonner ou non un procès pour l'ancien chef de l'Etat.

Mais mi-mai 2016, la cour d'appel de Paris a annulé des actes d'enquête, retardant ainsi la perspective d'un procès. Dans ces conditions, Nicolas Sarkozy peut davantage espérer éviter un renvoi en procès à brève échéance. Et peut-être aborder, sans ce boulet, la primaire présidentielle de son camp en novembre , même si une épée de Damoclès reste suspendue au-dessus de sa tête.

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Comptes de campagne de 2012
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Nicolas Sarkozy a aussi été mis en examen le 16 février 2016 pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012, dans le cadre de l'affaire Bygmalion. Il est soupçonné d'avoir, en qualité de candidat, dépassé le plafond légal de dépenses électorales. Il a aussi été placé sous le statut de témoin assisté pour les chefs d'accusation d'usage de faux, escroquerie et abus de confiance.

Pour le juge, Nicolas Sarkozy ne pouvait ignorer un dérapage des comptes, au vu des alertes adressées par les experts-comptables de sa campagne les 7 mars et 26 avril 2012. L'ex-chef de l'Eta a soulevé une autre hypothèse, celle de surfacturations au profit des patrons de Bygmalion, dont il n'a pas manqué de souligner la proximité avec Jean-François Copé.

Dans cette affaire il risque un renvoi en correctionnelle.

L'affaire Bygmalion
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L'affaire porte sur un système de double comptabilité et de fausses factures destiné à imputer à l'UMP des dépenses de la campagne de la présidentielle 2012 pour éviter le dépassement du plafond autorisé, soit 22,5 millions d'euros. Au coeur de ce système, la société prestataire Bygmalion, dont trois cadres ont reconnu les faits.

Cadres de l'ex-UMP, responsables de la campagne présidentielle, dirigeants de la boîte de com' Bygmalion et de sa filiale événementielle Event and Cie : quatorze personnes ont été mises en examen, dont Eric Cesari, ancien relais de Nicolas Sarkozy à l'UMP et son ancien directeur de campagne Guillaume Lambert. Aucun des protagonistes n'a mis en cause Nicolas Sarkozy. Guillaume Lambert a toutefois dis aux enquêteurs que l'ancien président avait été informé, vers la mi-2012, des « contraintes budgétaires » auxquelles était soumise sa campagne après une alerte d'un expert-comptable.

S'il a été mis en examen pour financement illégal de sa campagne, l'ex-président n'est pas poursuivi dans le volet sur un vaste système de fausses factures mis en place pour masquer le dépassement du plafond de dépenses.

Accusations de financement libyen de la campagne de 2007
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Des juges enquêtent depuis avril 2013 sur des accusations de financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime libyen de Mouammar Kadhafi. Parmi les ex-dignitaires libyens, certains ont évoqué ce financement sans fournir d'élément matériel, d'autres ont démenti. Une autre enquête concerne la plainte de Nicolas Sarkozy pour faux contre Mediapart, qui avait publié, lors de la présidentielle de 2012, une note censée accréditer ce financement. Les juges d'instruction ont rendu un non-lieu dans cette enquête. « indépendamment du contenu », il n'a pas pu être démontré qu'il s'agit d' « un support fabriqué par montage » ou « altéré par des falsifications ».

Dans le cadre de cette procédure sur le financement libyen de la campagne de 2007, l'ex-secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a été mis en examen pour faux, usage de faux et blanchiment de fraude fiscale en bande organisée. En cause : la vente alléguée de deux tableaux flamands pour expliquer un virement de 500.000 euros sur son compte.

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Sondages de l'Elysée
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Les juges enquêtent sur les commandes de sondages de la présidence sous le quinquennat Sarkozy (2007-2012). Au coeur de l'enquête, le rôle de Patrick Buisson, alors conseiller présidentiel. Il est soupçonné d'avoir profité de sa position pour réaliser d'importants bénéfices sur des sondages qu'il commandait et revendait à l'Élysée. Il a été mis en examen, tout comme l'ex-directrice de cabinet Emmanuelle Mignon et Claude Guéant. Nicolas Sarkozy pourrait être couvert par son immunité présidentielle.

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Arbitrage Tapie
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Six personnes sont mises en examen, dont Bernard Tapie, notamment pour escroquerie en bande organisée. Les juges soupçonnent que cet arbitrage ayant accordé, en 2008, 403 millions d'euros à l'homme d'affaires dans son litige avec le Crédit lyonnais sur la revente d'Adidas, ne soit le fruit d'un « simulacre » pour le favoriser, avec un aval politique. L'enquête s'approche de son terme, Nicolas Sarkozy n'est pas mis en cause.

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Affaire Karachi
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Nicolas Sarkozy, ministre du Budget à l'époque, a été cité dans cette enquête sur des soupçons de rétrocommissions en faveur du camp Balladur en marge de ventes d'armes dans les années 90. Mais lorsqu'ils ont transmis le dossier à la Cour de justice de la République (CJR), les juges ont visé l'ex-Premier ministre Edouard Balladur et son ministre de la Défense François Léotard, laissant simplement ouverte la possibilité d'une audition de Nicolas Sarkozy comme témoin assisté.

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Voyages en jet
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L'enquête sur les voyages en jet privé de Nicolas Sarkozy facturés à la société Lov Group de son ami Stéphane Courbit s'est achevée en novembre, sans mise en examen. Le 30 mai 2016, le parquet de Paris a requis un non-lieu.

Le parquet de Paris avait ouvert une information judiciaire en décembre 2014, en marge de l'affaire Air Cocaïne, l'enquête judiciaire menée à Marseille sur un vaste trafic international de drogue passée par la République dominicaine, dans laquelle 14 personnes sont mises en examen. A Saint-Domingue, quatre français ont été condamnés à 20 ans de prison en août 2015 et deux d'entre eux ont pris la fuite dans des conditions rocambolesques pour rentrer en France, où ils sont mis en examen.

Lors d'une perquisition dans les locaux de la société de transport aérien SNTHS, impliquée dans le trafic, les enquêteurs avaient découvert des factures adressées à Lov Group, dont trois concernaient des vols en jet privé de Nicolas Sarkozy. Ces vols ont été effectués dans trois appareils différents en partance du Bourget, à destination de Doha (Qatar), où l'ex-président s'est rendu le 9 décembre 2012 pour un forum international sur le sport, des Etats-Unis le 30 janvier 2013 et le 26 février 2013 à Abou Dhabi (Emirats arabes unis). D'après une source proche du dossier, les documents saisis montrent que le premier vol a été facturé 102.000 euros par SNHTS à Lov Group, le deuxième 95.000 et le dernier 104.000.

Des faits d'abus de biens sociaux auraient pu être constitués s'il avait notamment été démontré que la prise en charge de ces vols allait à l'encontre des intérêts de Lov Group tout en servant ceux de son patron, Stéphane Courbit. L'avocat de Stéphane Courbit, Me Christophe Ingrain, avait justifié auprès de l'AFP ces voyages par le projet de son client de créer un fonds d'investissement, Columbia, dans lequel Nicolas Sarkozy était impliqué. Le projet avait été abandonné après la mise en examen pour abus de faiblesse de Stéphane Courbit dans l'affaire Bettencourt, avait expliqué l'avocat.

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Pénalités réglées par l'UMP
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L'enquête ouverte pour abus de confiance visait les pénalités de Nicolas Sarkozy réglées par l'UMP pour le dépassement de son plafond de dépenses de campagne en 2012. Le rejet des comptes avait privé l'UMP du remboursement de plus de 10 millions de frais de campagne. Mais le Conseil constitutionnel avait aussi ordonné au candidat Sarkozy la restitution à l'Etat d'une avance forfaitaire de 153.000 euros et lui avait infligé une pénalité de 363.615 euros, correspondant au dépassement constaté. Or, le fait pour l'UMP d'avoir pris en charge ces frais pouvait constituer un abus de confiance, car les pénalités visaient le candidat lui-même et l'argent du parti aurait ainsi été détourné à son profit. A l'époque, pour se renflouer, l'UMP, très endettée, avait lancé une grande souscription auprès de ses militants, le « Sarkothon ». Revenu à la présidence de l'UMP, Nicolas Sarkozy s'était résolu à rembourser la somme de 363.615 euros.

Témoin assisté, l'ancien président a bénéficié d'un non-lieu dans cette affaire.

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Affaire Bettencourt
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Nicolas Sarkozy, un temps mis en examen pour « abus de faiblesse » de l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, a bénéficié en octobre 2013 d'un non-lieu « en l'absence de charges suffisantes ».

avec AFP


Personnellement, je pense que Sarkozy est un traitre vendu aux plus offrants

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